Sirakoro-Méguetana : une aide-ménagère de 16 ans violée par 4 gaillards

Sirakoro-Méguetana : une aide-ménagère de 16 ans violée par 4 gaillards

Dans la matinée du jeudi 11 juillet 2024, au quartier de Sirakoro-Meguetana, aux environs de 8h-9h, une aide-ménagère, âgée d’au moins 16 ans, a été victime d’un viol collectif dans une maison en chantier, non loin de la grande cour d’un ancien ministre. Pour l’heure, les 4 suspects restent introuvables et les hommes du Commissaire principal Ibrahim S. Tounkara sont à pied d’œuvre pour mettre hors d’état de nuire les auteurs.

 

Selon notre confrère l’Observatoire Kojugu Kounyafan, cette histoire épouvantable s’est produite, le jeudi 11 juillet 2024.

« En effet, la victime, en partance au marché pour acheter les condiments, aurait été entraînée dans une maison désaffectée non loin de la grande cour d’un ancien ministre de notre pays. Sur place, les agresseurs l’attendaient. Le cauchemar aurait duré plusieurs heures pour la jeune adolescente, sans qu’on sache si elle a été séquestrée », rapporte notre source.

Et de poursuivre, « Ses cris au secours et supplications qui n’ont pas dissuadés les prédateurs sexuels, ont été sans suite. Ainsi, tour à tour, ces 4 criminels auraient satisfaits leurs libidos laissant la jeune fille dans un sang. Quelques minutes plus tard, certains usagers auraient entendu les murmures de la victime. Ils ont retrouvé la fille abandonnée dans un état piteux. Sa partie génitale avait été complètement déchirée par les agresseurs. Après leurs forfaits, les criminels ont abandonné leur victime dans une mare de sang ».

Aussi, soutient la même source, « les suspects seraient tous des gaillards et n’ont pas moins de 25 ans ».

Informé par certains habitants, le commissaire principal de police Ibrahim Sory Tounkara a aussitôt dépêché une équipe sur les lieux afin de faire toute la lumière.

Sur place, une enquête a été immédiatement ouverte pour « viol collectif ».

Aux dernières nouvelles, apprend-on, la victime a été prise en charge et bénéficié d’un suivi psychologique.

En tout cas, certains témoignages affirment que ce n’est pas la première fois qu’un tel acte se produit en ce même endroit.

Source: L’ Indicateur du Renouveau

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